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Le pneu : Les professionnels du pneumatique

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les commerçant du pneu sur le bassin d'arcachon



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Le pneu : Histoire et information sur le pneumatique

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Le Pneu ? Des élèves d'une classe de CM1 nous ont posés la question : « Vous qui avez un site d'informations générales, c'est quoi un pneu ? Y a-t-il une fabrique de pneus à Arcachon ou sur le bassin ? ». Notre équipe espère qu'avec la réponse ci jointe nous avons participé à l'éducation Pneumatique des ces enfants.


Avant de donner l'historique du pneu, nous vous indiquons que sur le Bassin d'Arcachon nous n'avons pas de fabrique de pneus. Les grands fabricants sont dans des régions industrialisées en France comme Clermont Ferrant avec Michelin, en Pologne, Allemagne Angleterre et les Etats Unis. Beaucoup d'usine sont désormais délocalisées dans les pays Asiatiques.

Un pneu (apocope de pneumatique) est un solide souple de forme torique formé de gomme et autres matériaux, il entoure une roue et assure le contact entre un véhicule terrestre et le sol, procurant une certaine adhérence et facilitant les déplacements.

Histoire du pneumatique

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historique pneu


Pneu sur une roue d'avion à l'inspection, dans les années 1940 Après avoir fait breveter son invention, Dunlop fonde en 1889 la première manufacture de pneumatiques.

En 1889, les vélos peuvent ainsi rouler sur des pneus qui sont des boudins de caoutchouc gonflés d'air et fixés à la jante. Si le confort est ainsi au rendez-vous, le système n'est pas pratique : en cas de crevaison, changer de pneu est une opération longue et délicate. On doit au canadien français Hippolyte La Force qui dès le 2 décembre 1891 a breveté au Canada la résolution de cet épineux problème : en effet, il met au point en 1891 le premier pneumatique démontable contenant une chambre à air: the "H" perfect pneumatic tyre. Edouard Michelin aurait selon la légende, rencontré un cycliste anglais demandant une réparation lors de son passage à Clermont-Ferrand qui aurait donné l'idée à Édouard. Le nouveau pneu est mis à l'épreuve de la réalité la même année par Charles Terront qui sort vainqueur de la première course cycliste Paris-Brest. Il semblerait qu'aux alentours de 1897 la société française du Pneumatique LaForce ait gagné devant les Tribunaux de Paris un procès en contrefaçon contre Michelin: ce jugement devrait être retrouvé. Il existe donc une incertitude des plus sérieuses sur l'identité du véritable inventeur du pneumatique avec chambre à air: le Canadien Hippolyte LaForce ou le français Edouard Michelin?

L'invention est un succès immédiat, et pas seulement dans le monde du vélo : très vite, l'automobile s'empare à son tour du pneu, remplaçant les bandages par des pneumatiques. Conçue et fabriquée par Michelin, l'éclair est la première voiture sur pneus (1895). En 1899, la Jamais Contente, première voiture à atteindre les 100 km/h est équipée de pneus Michelin. Après les cycles et les voitures, c'est le tour des voitures d'enfants et même des fiacres d'en être équipés.
En 1929, un pneu pour les rails est mis au point pour équiper la Micheline. Le premier pneu à clous pour rouler sur le verglas ou la neige est quant à lui mis au point en 1933.

Une des grandes révolutions du pneu, le pneu à carcasse radiale est breveté le 4 juin 1946 par Michelin. La première voiture à en être équipée est la Citroën Traction Avant. En 1951, c'est au tour du métro de se mettre aux pneus à Paris. En 1955, Michelin invente le pneu sans chambre à air (dit Tubeless) .

Le pneu a, depuis, beaucoup évolué dans des sens très différents : pneus à lamelles pour une meilleure adhérence sur la neige, pneus faisant économiser du carburant par une moindre résistance au roulement, etc.


Constitution


Un pneu est constitué de caoutchouc (naturel et artificiel), d'adjuvants chimiques (soufre, noir de carbone, huiles, etc.) et de câbles textiles et métalliques. Il est traditionnellement divisé en trois grandes zones : la zone sommet, en contact avec le sol, la zone flanc, et la zone bourrelet (ou zone basse).

Musée Aquarium - Tortue caret

Sculptures creusées dans la bande de roulement


Zone sommet

Elle est principalement constituée de la bande de roulement, couche de gomme épaisse en contact avec la route. Cette gomme doit être adhérente (transmission du couple, guidage dans les virages, etc.), sans opposer trop de résistance au roulement (principe des pneus « verts », qui diminuent la consommation de carburant). La bande de roulement est creusée de « sculptures », qui évacuent l'eau et la neige et limitent l'aquaplanage. La présence de lamelles sur les sculptures rompt la tension superficielle du film d'eau présent sur la route. Sur cette bande sont habituellement disposés des témoins d'usure dont la localisation est repérable sur le flanc du pneu. Les témoins des pneus pour véhicule tourisme ont une hauteur de 1,6 mm.

Sous la bande de roulement se trouvent les nappes ceintures, constituées de fils métalliques parallèles. Ces câbles, en deux couches croisées, assurent la rigidité du pneumatique, notamment lors de poussées latérales (virages).


Zone flanc
La zone latérale du pneu est constituée de gomme souple, capable de supporter une déformation à chaque tour de roue, et résistante aux chocs (trottoirs). On y trouve également tous les marquages. La zone de transition entre le flanc et le sommet s'appelle « épaule ».


Zone basse
Un pneu est constitué de fines particules de tissus collées ensemble. On s'en sert beaucoup pour les bateaux. La fonction de cette zone est d'assurer l'accroche à la jante, grâce à deux anneaux métalliques (les « tringles ») prenant appui sur la jante au niveau du « talon ». Cette zone transmet le couple entre la roue et le pneumatique, et permet l'étanchéité pour les pneus « tubeless ». Cette étanchéité est assurée par une nappe qui recouvre l'intérieur du pneu, et qui est coincée par les deux tringles : la « gomme intérieure », à base de butyle.

Une autre nappe, située entre la gomme intérieure et le sommet, également coincée par les tringles, s'appelle la « nappe carcasse ». Elle est constituée de fils textiles parallèles (véhicule tourisme), dans le sens radial. Cette nappe a donné son nom au pneu radial. Elle assure la triangulation avec les fils croisés des nappes de ceintures pour une meilleure tenue du pneu. Ces fils, inextensibles, supportent le poids de la voiture et permettent de garder une bonne surface de contact entre le pneu et le sol.


La fabrication

Un pneumatique demande plusieurs étapes de fabrication. Des produits intermédiaires (les semi-finis) sont fabriqués avant d'être assemblés pour faire le produit fini.

Les produits semi-finis

  . La gomme
Les caoutchoucs naturels (issus du latex produit par l'hévéa) et synthétiques (issus de la pétrochimie) sont mélangés avec des huiles et des charges renforçantes (noir de carbone ou silice, qui améliorent la résistance à l'usure). Ce mélange est ensuite travaillé avec le soufre (vulcanisation) et les autres adjuvants pour être conditionné avant d'être utilisé.

  . Les fils textiles et métalliques
Les fils textiles sont essentiellement synthétiques. Ces fils sont retordus pour les rendre plus résistants, et sont imprégnés d'un polymère qui assurera leur adhérence à la gomme, dans la nappe carcasse.
Les fils métalliques sont en acier recouvert de laiton. L'adhérence de ces câbles au caoutchouc résulte de la formation de sulfures et de polysulfures de cuivre, à partir du cuivre constitutif du laiton et du soufre utilisé pour la vulcanisation du caoutchouc. Les fils métalliques sont tréfilés, puis tressés en câbles. Ils serviront à réaliser les tringles et les nappes de ceinture.
Les nappes de renfort (carcasse et de ceinture) sont calandrées : les fils (textiles ou métalliques) placés parallèlement, sont pris en sandwich entre deux minces couches de gomme. Ces nappes sont ensuite coupées puis réassemblées afin d'obtenir l'angle de fil souhaité.

  . Les nappes de gomme
La bande de roulement, ainsi que plusieurs couches de différentes gommes sont utilisées dans le pneu, afin de constituer ou renforcer certaines zones (épaule, flanc, talon) : évacuation de la chaleur, protection contre les agressions chimiques, etc. Ces nappes sont fabriquées par extrusion.


Le produit fini

  . L'assemblage
Il s'agit de superposer les différents semi-finis, en vue de constituer le pneumatique. Les différentes couches internes (la carcasse) sont placées sur un cylindre au diamètre du pneu (le tambour) : gomme intérieure, nappe carcasse, tringles, et toutes les nappes de gommes. Après conformation (le tambour fait prendre à la carcasse son aspect torique), les nappes de ceinture et la bande de roulement sont posées : on obtient un pneu cru, encore plastique.

  . La cuisson
Ce pneu est placé dans une presse de cuisson, dont les parois sont usinées afin de reproduire sur le pneu les sculptures et les marquages. Lors de la cuisson, la vulcanisation du caoutchouc avec le soufre rend le pneu élastique.

  . Le contrôle
Différentes opérations de contrôle (aspect visuel, radioscopie, balourd, dérive, etc.) permettent d'assurer que le pneu (organe de sécurité sur un véhicule) est conforme.




Les véhicules

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Maison de l'Huître - Gujan-Mestras
Maison de l'Huître - Gujan-Mestras

Tramway sur pneu, Clermont-Ferrand (France)

Un des problèmes posés par les pneus est leur fin de vie ou recyclage



Les pneus sont utilisés par différents types de véhicule :

  . l'automobile et ses dérivés : autocar, camion, engin de chantier ;
  . l'avion ;
  . la bicyclette ;
  . certains matériels ferroviaires comme les métros (lignes 4, 6 à Paris), et les Michelines ;
  . la moto ;
  . certains tramways ;
  . certaines brouettes.


Pneus et environnement

Le caoutchouc naturel est rendu plus rigide, stable aux ultraviolets, résistant au sel de déneigement par des additifs parfois toxiques. Les vieux pneus sont source potentielle d'incendies toxiques, de fournir des zones de ponte à des moustiques susceptibles de véhiculer de virus tels que le Chikungunya. Brûler des pneus produits beaucoup d'énergie, mais également une forte pollution. Le rechapage est possible et courant dans certains pays depuis longtemps pour les pneus de camions et gros engins de chantier public (Il produit des pneus 40 % moins cher). Mais le recyclage intégral de la ferraille et du caoutchouc nécessite des filières organisées et des matériels sophistiqués. Le brûlage des pneus à l'air libre ou ailleurs qu'en incinérateur spécialisé est interdit dans la plupart des pays. Le pneu broyé est parfois brûlé dans les fours de cimenterie. Il existe de par le monde de nombreuses décharges de pneus. Une nouvelle technique perce actuellement dans la réutilisation des pneus usagés. Ils sont transformés en granulats et servent dans les pelouses synthétiques sur des terrains de football par exemple.

Des récifs artificiels à base de pneus ont été essayés, sans succès en raison de la toxicité des matériaux, et du fait qu'il est facilement balayé lors des tempêtes. Ils peuvent par contre trouver une application de protection, comme c'est le cas du procédé « Pneusol », mis en place pour protéger des chutes de pierres la station d'épuration Amphitria.
Les pneus s'usent et perdent peu à peu de leur matière sur les routes. Le cadmium qu'ils contiennent et d'autres composants concourent à la pollution routière.

En France, l'abandon dans la nature ou le brûlage à l'air libre en sont interdit, et les fabricants (ou importateurs) doivent procéder à l'enlèvement et au traitement des pneus usagés, mais ces textes ne concernaient pas les stocks d'avant 2004 (114 dépôts d'environ 240 000 tonnes de pneus). Le 20 février 2008, un accord interprofessionnel signé par toute la profession du Pneumatique sous l'égide de Nathalie Kosciusko-Morizet permet l'évacuation et la valorisation (en 6 à 8 ans, pour un coût estimé de 7 millions d'euros) des 80 000 tonnes de pneus qui restent à traiter en France.

Il existe aujourd'hui de nouvelles techniques telles la constitution de remblais routiers, de réservoirs souterrains ou de chaussées réservoirs à partir de morceaux de pneus broyés et lavés de leurs principales substances toxiques.


Les références inscrites sur un pneu

(Pour les pneus de vélo voir Pneumatique (vélo))
Le marquage se fait sur le flanc du pneu. Pour 195/65 R 15 91 H 6 M+S par exemple:

  . 195 est la largeur du pneu gonflé, mesurée d'un flanc à l'autre (en millimètres). Ce n'est pas la largeur de la bande de roulement qui n'apparaît pas et peut varier, par exemple, entre deux pneus 195
  . 65 est la « série » (hauteur du flanc par rapport à la largeur du pneu) exprimée en pourcentage (ici 65 % - soit 126,75 mm)
  . R indique le type radial (B indiquerait une carcasse « bias », D une carcasse diagonale)
  . 15 est le diamètre de la jante en pouces (1 pouce correspondant à 2,54 cm)
  . 91 Indice de capacité de charge, 91=615 kg (cf. normes2 de l'E.T.R.T.O., European Tyre and Rim Technical Organization)
  . H code de vitesse indique la vitesse maximale à laquelle un pneu de voiture de tourisme peut être soumis - (89H, pneu dont la limite est 210 km/h)       o Q = 160 km/h
      o S = 180 km/h
      o T = 190 km/h
      o U = 200 km/h
      o H = 210 km/h
      o V = 240 km/h
      o W = 270 km/h
      o Y = 300 km/h
  . M+S (Mud+Snow) boue et neige. Signe apposé sur les pneus d'hiver ou toute saison

Nota: Parfois, la lettre C est inscrite sur le flan du pneu, juste après 185R14-C par exemple. Cette lettre indique que l'indice de charge du pneu est plus élevé que la normale. Ces pneus sont généralement destinés à être montés sur une camionnette ou un camping-car.

Dans cet exemple la circonférence du pneu est donc :

  Pi × (2 × rayon) = Pi × diamètre
                             = Pi × ([195 mm × 65 % × 2] + [25,4 mm/pouce × 15 pouces])
                             = 1 993,3 mm

C'est cette circonférence qui permettra de calculer la vitesse du véhicule. Lorsque le pneu s'use, la vitesse se trouvera ainsi surévaluée. Dans notre exemple avec une usure de 3 mm la vitesse sera ainsi surévaluée de 0,95 % ; un compteur affichant une vitesse correcte pour un pneu neuf indiquera 100 km/h lorsqu'on roulera à une vitesse réelle de 99,05 km/h.

  . L'indication « Tubeless » indique un pneu sans chambre à air, « Tube type » indique un pneu avec chambre à air
  . La date de fabrication du pneu est mentionnée en 4 chiffres ; les 2 premiers indiquent la semaine de fabrication et les deux derniers l'année de fabrication Exemple : 1702 est un pneu fabriqué lors de la 17e semaine de l'année 2002. Lorsqu'il n'y a que 3 chiffres, cela signifie que le pneumatique a été fabriqué avant l'an 2000. Si un triangle est présent devant ces 3 chiffres c'est qu'il s'agit de la décennie 1990 et s'il n'y en a pas, la décennie 1980. 259 correspond donc à un pneumatique fabriqué la 25e semaine de 1989.
  . On peut trouver un marquage DOT (Department of Transportation) pour les pneumatiques destinés à l'Amérique du Nord. La quasi-totalité des pneus vendus en Europe ont également cette inscription et les quatre chiffres suivants ces trois lettres correspondent à la date de fabrication comme indiqué ci-dessus.
  . Le code E1 : Signe de contrôle pour la norme européenne, 1=Allemagne
  . Le matricule du pneumatique est composé d'une suite de chiffres et de lettres. C'est un numéro unique attribué à chaque pneu. Il est notamment relevé lors de chaque expertise de pneu. Selon les marques, il revêt différentes form


Aspects tribologiques

schema pneu
p la force qui colle le pneu à la route, f la force maximale latérale qui peut être exercée

Les pneumatiques automobiles sont le lieu de dissipations énergétiques importantes lors du roulement..

Pour faire simple, le contact du pneu à la route crée une légère déformation de celui ci, quand le pneumatique tourne, il y a une dilatation de la partie du pneumatique qui était en contact avec la route et qui ne l'est plus, et une compression de la partie qui n'était pas encore en contact avec celle-ci et qui le devient. Ces déformations créent un transfert d'énergie mécanique en énergie thermique (augmentation de la température du pneu).

Jusqu'à quel point le pneu adhère à la route ? En fait, il faudrait plutôt dire : quelle est la force maximale exercée sur le pneu perpendiculairement à la route avant que celui-ci dérape ?

En fait, la force maximale latérale est quasi proportionnelle à la force qui colle le pneu à la route (p sur le schéma). Cependant, passé un certain seuil, la force maximale latérale n'augmente pas autant par rapport à la force p que précédemment. Ainsi, une voiture avec un centre de gravité élevé, qui subit de forts transferts de charge en virage, tiendra moins bien la route en virage qu'une voiture identique avec un centre de gravité plus bas.


Les pneus et la sécurité

La pression des pneus

Un pneu sur-gonflé, ainsi qu'un pneu sous-gonflé provoque une diminution de l'adhérence qui peut être dangereuse en virage ou au freinage. Il est donc conseillé de vérifier régulièrement la pression des pneus. Il est aussi conseillé de légèrement sur gonfler les pneus au cas où l'on transporterait de lourdes charges pour éviter que le pneu ne se plie sur les bords. Un pneu sous-gonflé subit une déformation plus importante des flancs et de la bande de roulement. Les principales conséquences sont une usure plus rapide du pneumatique, un risque augmenté d'éclatement et une augmentation de la consommation de carburant du véhicule. Il faut noter qu'un pneu trop gonflé s'use également plus rapidement au centre de la bande de roulement et est plus sensible aux arrachements de gomme (patinage notamment).

pneu pneumatique
Pneu sous-gonflé

Placement des pneus neufs

Pour une automobile il est généralement conseillé de placer les moins usés des quatre pneus à l'arrière4. L'essieu avant est directeur, ainsi, lorsque l'on tourne le volant, ce sont eux qui donnent la direction au reste du véhicule. Les pneus arrière suivent. Le conducteur n'a conscience que de l'adhérence de ses pneus avant. Il peut éventuellement corriger son mouvement ou ralentir l'allure s'il sent ses pneus glisser dans un virage par exemple. Si les pneus arrière sont plus usés, il se peut que les pneus avant soit suffisamment adhérents pour virer mais pas les pneus arrière, et le survirage a de grandes chances de survenir. Si ceux-ci glissent, le véhicule peut partir en tête à queue ou sortir de la route. Néanmoins, un véhicule dont les pneus avant offrent une adhérence inférieure à celle des pneus arrière aura une tendance au sous-virage, c'est-à-dire à partir tout droit5. Selon l'état des pneus et la dynamique du véhicule (les véhicules récents ayant une tendance nette au sous-virage) cela peut se révéler contre-productif, notamment sur route sinueuse. En outre des dispositifs de correction de trajectoire tels que l'ESP tendent à faciliter la maîtrise de la trajectoire du véhicule pour des conducteurs n'ayant pas l'expérience des situations de perte de contrôle et d'adhérence.


Le contrôle de l'usure des pneus

Il est nécessaire de contrôler régulièrement l'usure des pneus. Des pneus trop usés présentent un danger, contrôlez les témoins d'usures.



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