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Saison Culturelle - Arcachon - Avril 2008 (1)

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« Ce sont donc des rencontres sensibles et artistiques qui sont au rendez-vous, vous permettant de redécouvrir des auteurs, d'admirer des interprètes, en alliant toujours qualité et diversité ».



Mardi 01 Avril à 2008 à 20h45 - Olympia - ARCACHON

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Michel Delpech

« Au-delà des modes et des générations, les uns et les autres (...) savourent ces fleurons d'une variété qui n'avait d'autre ambition que d'être honnête et populaire ». - Télérama


Depuis « Inventaire 66 », et « Chez Laurette », puis avec « Wight is Wight », « Le Chasseur », « Le Loir-et-Cher », « Les Divorcés », il a comblé le public de véritables chroniques sociales au regard tendre, inscrites dans la mémoire collective de millions de Français.

Si Michel Delpech a troqué ses boots blanches et son gros ceinturon, il garde les mêmes atouts majeurs, intacts :
Un charme décalé, teinté d'humour discret et de pathétique, un sourire enjôleur, et une voix, plus grave, mais toujours chaude et douce...

« Gulliver et fils » par les Trottoirs du Hazard (1)

© S.Derossi





Ven. 04 et Sam. 05 Avril 2008 à 20h45 - Olympia - ARCACHON

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« Roméo et Juliette »
selon le ballet Angelin Preljocaj

Le ballet Preljocaj, en collaboration avec le ballet d'Europe sur la musique de Prokofiev revisite Roméo et Juliette, le tout dans un décor futuriste et avec des costumes créés par le dessinateur Enki Bilal qui n'est pas sans rappeler l'univers de l'écrivain George Orwell.


« Roméo et Juliette » - Ballet Angelin Preljocaj (1)

Marqué par sa culture et ses origines albanaises, Angelin Preljocaj a choisi de situer cette histoire d'amour universelle dans le contexte des régimes totalitaires des pays de l'Est.

© J-C Carbonne


Dans une improbable Vérone, non pas futuriste mais fictive, passablement délabrée, abritant une classe favorisée et dirigeante (la famille de Juliette) et une population misérable et exploitée (celle de Roméo), la rencontre des amants est proscrite et hors la loi ; la milice omniprésente et musclée, chargée par la famille de Juliette de contrôler l'ordre social, n'est pas seulement l'image shakespearienne de la fatalité, c'est aussi l'emprise effective du pouvoir sur une des libertés essentielles de l'individu : celle d'aimer.


Roméo et Juliette, même s'ils se soumettent parfois, refusent chacun la façon de vivre qui est imposée dans leurs classes sociales, classes fermées à toute communication comme le dicte la milice des consciences, d'où le scandale de cet amour.
Tous deux voudraient être ailleurs, tous deux sentent la nécessité de décrocher, chacun aspire à ce qu'a l'autre.
Le choc passionnel va leur permettre de sauter le pas, d'oser échapper au sort qu'on leur avait tracé.

« Roméo et Juliette » - Ballet Angelin Preljocaj (2)

© J-C Carbonne


Chorégraphie créée en 1996 et primée aux Victoires de la Musique 1997.

Chorégraphie : Angelin Preljocaj
Décor : Enki Bilal
Costumes : Enki Bilal et Fred Sathal
Musique : Serge Prokofiev Roméo et Juliette, Opus.64
Interprétation : Boston Symphony Orchestra
Sous la direction de : Seiji Ozawa
Création sonore : Goran Vejvoda
Lumière : Jacques Chatelet
Décors : Atelier décor Alain Grenet
Costumes : Pascale et Stéphane Richy - Le Chat Botté Costumier
Choréologue : Dany Lévêque

Coproduction : Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, La Coursive - Scène Nationale de La Rochelle, Les Gémeaux - Sceaux - Scène Nationale, Théâtre de la Ville - Paris, Fondation Paribas, Festival Danse à Aix.





Vendredi 14 Mars 2008 à 20h45 - Olympia - ARCACHON

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« Corps à cordes »
par le Quatuor

Depuis plus de vingt ans maintenant « Le Quatuor » offre son talent et sa folie à un public de plus en plus large.
Auréolée de ses nombreuses récompenses, ce n'est pas un vain mot de dire que cette formation est devenue une incontournable référence en matière d'humour musical.
C'est bien « Le Quatuor » qui a inventé « Le Quatuor » !


Le Quatuor « Corps à cordes »

Dans sa nouvelle création, queues de pie et instruments à cordes sont toujours de rigueur ; à la fois pour poser l'image quasi sacrée de la plus exigeante des formations de musique de chambre, mais aussi pour se servir toujours plus de l'incroyable richesse de cet outil musical.
Bien sûr, comédie, chant, danse et mime sont autant d'autres cordes à l'arc de leurs archets.

Ce spectacle, une nouvelle fois co-créé et mis en scène par Alain Sachs, n'est pas une simple succession en alternance de séquences tantôt musicales, tantôt humoristiques.


Au contraire, au sein de chaque tableau, la musique (toujours première) l'humour, le geste et la poésie se mêlent de plus en plus intimement.
C'est cette osmose, cet aller-retour permanent du rire enfantin à la métaphore la plus profonde qui suscitent surprise et éveil permanent dans une savoureuse ambiguïté.

Voilà le sens de ce nouveau travail : fixer plusieurs humeurs dans un même instant, dans une même image et qu'ainsi superposées chaque émotion renforce l'autre.

Mise en scène : Alain Sachs
Violons : Jean-Claude Camors et Laurent Vercambre
Alto : Pierre Ganem
Violoncelle : Jean-Yves Lacombe





Mercredi 13 Avril 2008 à 17h00 - Olympia - ARCACHON

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« Le Barbier de Séville »
Opéra de chambre de Varsovie

Une partition pétillante, une interprétation en italien d'une vivacité et d'une cocasserie exemplaires : ce barbier est rasé au plus près de celui imaginé par Rossini.
« Ah Figaro quand tu nous reviens... »


Visionnaire mais un peu sévère, Rossini disait que l'histoire ne retiendrait de lui que le troisième acte d'Othello, le deuxième de Guillaume Tell et tout Le barbier de Séville.
En ce qui concerne ce dernier, il avait raison.
Aujourd'hui encore, cette oeuvre reste lA référence en matière d'opéra bouffe.
C'est que Rossini y a atteint un degré de perfection que peu de compositeurs ont approché.


À l'impertinente comédie de Beaumarchais, il a su ajouter, par la grâce de sa musique, une gaieté, une poésie, une vitalité débordante qui la rendent encore plus irrésistible.

« Le Barbier de Séville » Opéra de chambre de Varsovie


Rompu au répertoire italien, l'opéra de chambre de Varsovie marche avec assurance sur les pas du maestro : point de transposition ni de relecture fantaisiste, la mise en scène reste fidèle au livret.
Et le chef-d'oeuvre brille, de mille feux originels.


par l'Opéra de Chambre de Varsovie

Directeur Général : Stefan Sutkowski
Mise en scène : Jitka Stokalska
Direction musicale : Ruben Silva
Distribution : W. Parchem, S. Smulczynshi, L. Swidzinski, D. Machej, B. Sliwa, D. Lachowichz, M. Tukalska, E. Wroblewska, T. Pietak, W. Zoladkiewicz, P. Chwedorowicz, S. Jurczack, A. Klimczak, M. Bogdanowicz, D. Calek, M. Rudnicka, S. Hijewxki.

Musique : Gioachino Rossini
Mimes : Klaudia Carlos, Monika Gut, Jerzy Klonowski, Andrzej Kwiatkowski.
Ensemble de Solistes de l'Opéra de Chambre de Varsovie - Sinfonietta de Varsovie.
Co-organisation European Cultural Exchanges.




Arcachon - Saison Culturelle 2007/2008 - Mars 2008

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